“Pour amitié voir "avec Homme mature sérieux, discret surtout, je suis hors milieu et sans expérience dans ce monde gay" (sic). Ce genre de messages sont fréquents sur certains sites. Ils renvoient à une catégorie de plus en plus “visible” dans l’espace social même si elle se heurte parfois à une certaine homophobie agressive. “Je suis lesbienne et ma famille ne le sait pas. C’est difficile de vivre cela dans notre société. Mayefehmouche”, se confie une internaute. Une autre, une bachelière dans la même situation, a choisi pour pseudo “l’Incomprise”, et quand nous nous enquerrons du secret d’un tel choix, elle dira : “Je suis lesbienne et le vis très mal. Ma mère et ma sœur le savent… C’est dur… ” Un gay, 20 ans, étudiant en droit, raconte comment il s’est fait agresser par des jeunes en raison de son identité sexuelle. Mais d’un autre côté, il faut reconnaître aussi que les homos en général se sont imposés dans le paysage social et vivent plutôt en bonne intelligence avec leur entourage. Ils sont même appréciés pour leur tempérament enjoué et leur esprit festif et gai (sans mauvais jeu de mots). Désormais, les homosexuels “sexe-priment”. Et avec quelle truculence ! Quelle gouaille ! “Je cherche un actif très sérieux et très discret qui aurait un coin tranquille dans Alger.” Avant, leur espace d’expression favori pour leurs “coming out” était les murs des toilettes publiques.
Aujourd’hui, ils ont leurs cafés, leurs salons de thé, leurs plages, leurs discothèques, leurs restos, leurs icônes (voir Cheb Abdou). Ils se pavanent rue Didouche-Mourad en grappes et en groupes et s’affichent presque comme une “communauté”. En définitive, et aussi curieux que cela puisse paraître, l’homophobie n’est pas aussi voyante, aussi épidermique qu’on pourrait le croire pour une société foncièrement conservatrice, machiste et sans pitié envers les “minorités”.
Ne manque qu’une gay-pride à l’algérienne. J’habitais seul avec maman
il est certain que l'on pourrais se rejouir de voir sa mais que penser de cet article qui suis tout a fait le contraire alors ou en est la realité !!!
Tout allait bien lors d'une belle journée ensoleillée. Les gens voguaient à leurs préoccupations. Soudain des cries viennent troubler la sérénité habituelle de ce cartier de la capitale. Un groupe de quatre personnes s'acharnent sur la silhouette frêle d'un gamin de 18 ans à coup de pieds et d'injures.
Personne n'osait intervenir pensant à un voleur qui vient d'être pris en flagrant délit. Seul un vieil homme voyant que l'acharnement des jeunes gens emplissait se rapprocha de la scène en les exhortant de s'arrêter.
« Ne vous mêlez pas de cela grand-père, c'est notre frère, il nous fait hante ; il aimes les hommes » et en toute impunité sous le regard d'au moins une cinquantaine de personnes les deux frères l'ami et le cousin de ce pauvre gay donc le seul crime était d'avoir une sexualité différente de celle du commun des mortels, continuaient à l'accabler de coup de pieds sur la tête le visage, le ventre...
Quant le cousin avait des réticences à frapper Zaki qui marinait dans son sang à leurs pieds, le frère lui cria dessus « frappe c'est ton droit, applique ta justice ». Au bout d'un moment les agresseurs essoufflés partirent laissant leurs frère et victime affalée sur le sol se tordant de douleur.
C'est un passant en voiture qui eu pitié de Zaki et le prit au pavillon des Urgences médicochirurgicales le plus proche.
Le comble dans tout cela est que l'agression en question se transforma en un accident de moto. Que Zaki s'est vu confisqué son portable, menacé de dévoiler son homosexualité à son père qui le mettrait de suite à la porte et summum de l'horreur, la mère au courant de tout, ne parle plus a son fils. Zaki est actuellement convalescent chez lui mit sous surveillance par ces frères. Impossible de s'approcher de lui de lui parler en tête à tête car les frères assistent a toutes les visites et ne laissent quasiment pas Zaki avec ses visiteurs.
Logiquement Zaki est en droit de déposer plainte contre ses frères pour coup et blessures avec préméditation. Il a aussi le droit de les poursuivre en justice et les voir derrière les barreaux pour leur crime. Mais la réalité en est autrement. De par la loi 338 du code pénal algérien Zaki est en effraction et risque une peine de prison allant de 6 mois à deux ans de prison ferme et d'une amande allant jusqu'à 5000Da qui représente la moitié du SMIC en Algérie.
D'après le témoignage de Angelino
a voir suraladin notre ami algerien , sache aladin que nous somme de tout coeur aupres de toi et oui nous prions pour ton frere zaki qu'il se retablisse et aille vite au mieux , qu'il trouve surtout la paix et enfin une joie de vivre enfin si toute fois sa famille le lache un peu !! courage zaki on fais passer ton histoire a travers les frontieres que les gens puissent enfin se rendre compte de cette vie gay dans les pays musulmans !!!