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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 18:05

Par Rédaction

 

EXCLU TÊTU. Le SNEG et Citebeur se sont associés une nouvelle fois pour concevoir une campagne de prévention informative et sexy. Changement de style pour cette quatrième saison: le studio a opté pour la «BD animée». Regardez.

 

Bye-bye Boris, Nadir et autres pornostars de chair et d'os... Cette année, le studio Citebeur troque ses acteurs contre des étalons d’encre et de papier pour sa désormais traditionnelle campagne de prévention produite avec le Syndicat National des Entreprises Gaies (SNEG). Le coup de crayon du dessinateur gay Zgeg donne vie à des situations auxquelles chacun peut être confronté pour promouvoir le safe sex, et «interpeller sans stigmatiser, stimuler la prise de parole et l’écoute» selon Antonio Alexandre, responsable prévention du SNEG.

La sérodifférence est le sujet principal de cette nouvelle saison: les trois films de deux minutes sont inspirés d'expériences rapportées par des gays séronégatifs, concernant leurs difficultés, leurs appréhensions, leurs ambivalences face aux risques du VIH et aux personnes séropositives.

Coproduction sexy
Sur une aire de cruising en forêt, dans les douches d'une salle de sport ou dans un bar, séronegs et séropos se rencontrent, se draguent, et interpellent par leurs doutes, leurs hésitations ou leurs petites lâchetés... Une coproduction sexy qui complète le travail de prévention du SNEG dans ses établissements.

TÊTU.com vous propose de découvrir le premier épisode de la web-série, avant sa diffusion demain sur les sites de Citebeur. Les deux autres seront mis en ligne les 21 et 28 septembre:


WEBSÉRIE CITEBEUR SNEG - Épisode1 par studiopresse  voir video

 

 

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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 21:44

Par Jérôme Pasanau 

 

Plus de 2.000 homos sur un bateau, en mini shorts et maillots de bain, sont censés accoster à Casablanca dans quelques jours. La croisière et sa future escale ont déjà provoqué un tollé dans ce pays où l'homosexualité reste taboue.

 

L'embarquement est prévu à Barcelone le 29 juin prochain. 2.000 homos, principalement américains et européens, sont attendus sur un paquebot de la compagnie américaine Holland America Line. E, pour huit jours de croisière gay. Au programme: clubbing, piscine, rencontres... et une escale d'une journée prévue à Casablanca le 1er juillet, avant de faire route vers Cadix en Espagne.

Mais alors que les organisateurs se félicitent d'être «la première croisière gay à faire escale à Casablanca, la plus célèbre des villes balnéaires du Maroc», cet arrêt n'est pas du goût de tout le monde sur place. Plusieurs sites internet mettent déjà en garde sur l'arrivée de ces touristes d'un genre nouveau dans le pays. Le site d'opposition Demain Online a par exemple comparé le débarquement de ces flamboyants vacanciers à une «gay pride» organisée à Casablanca. Le journal estime que «l'arrivée de 2.100 touristes gays dans la capitale économique du royaume chérifien a déclenché une vive polémique au Maroc, pays musulman dirigé par un Commandeur des croyants». Un point de vue qui fait écho aux dernières déclarations du ministre de la Justice et des Libertés Mustapha Ramid, qui avait récemment qualifié Marrakech de «ville de pêchés». De son côté, le journal arabophone Al Khabar s'étonne et s'interroge sur l'accord donné par l'Etat «à ces touristes d'un genre particulier (...) alors que l'homosexualité est un délit puni par la prison» au Maroc. Et le journal de souligner également que malgré l'interdiction de l'homosexualité par l'Islam, le Maroc reste l'un des rares pays arabes qui dispose d'une association et d'un magazine gay.

Sexe et croyances
Plusieurs voix saluent a contrario l'arrivée de ces nombreux touristes étrangers, venus dépenser leur argent dans le pays alors que le tourisme marocain n'est pas au mieux actuellement. Si les organisateurs de la croisière ont obtenu l'ensemble des autorisations nécessaires auprès du gouvernement, le site Yabiladi rappelle que les autorités marocaines n'ont pour le moment pas encore officiellement réagi aux polémiques.

La difficile cohabitation de la liberté sexuelle et des croyances n'est pas nouvelle au Maroc. Ainsi une artiste libanaise, qui avait tourné un de ses clips sur l'esplanade de la mosquée Hassan II de Casablanca il y a quelques mois, avait provoqué une vive indignation... parce qu'elle y apparaissait en jupe courte et talons aiguilles! Même tollé pour une marque italienne de prêt-à-porter qui avait organisé une séance photos de mode et tourné une vidéo promotionnelle avec ses mannequins, pour sa collection femmes, dans un édifice religieux de Fès.

Photo d'illustration: Cédric Douzant pour TÊTU/DR.

 

 

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22 mai 2012 2 22 /05 /mai /2012 21:01

Par Cédric Douzant

http://anotherdaylight.files.wordpress.com/2010/03/gay_muslim.jpg

A l’occasion de la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, le ministère des affaires étrangères a invité plusieurs militants LGBT du Maghreb. Pour eux, les printemps arabes n’ont rien changé. Entre répression et discrimination, les homos restent les oubliés des révolutions.

Pour les homos du Maghreb, les lendemains qui chantent se font attendre. Invités mercredi, à l’occasion de la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, au Ministère des affaires étrangères à Paris, plusieurs militants LGBT d’Algérie et de Tunisie ont partagé le même constat, plutôt amer: le vent de liberté qui s’est levé l’année dernière au Maghreb ne souffle pas pour les personnes LGBT.

Radicalisation de l'homophobie
«Juste après la révolution, la société est devenue plus permissive et tolérante, mais la situation a très vite régressé, raconte Khouloud, étudiante de 26 ans à Tunis. Notre ministre des Droits de l’homme a par exemple déclaré que l’homosexualité n’était pas un droit humain et méritait un traitement médical.»

En Tunisie comme en Algérie, l’homosexualité reste passible de 6 mois à trois ans de prison. Et depuis les changements de régimes ou la fragilisation des gouvernements en place, la répression empire et l’homophobie se radicaliserait. «Depuis quelques temps, avoir l’air homo est devenu dangereux et des garçons efféminés se font arrêter, confirme Ihcène, une militante d'Alger. Dans la presse, les articles qui appellent à la haine, et amalgament homosexualité, prostitution et pédophilie, sont de plus en plus nombreux. Pour beaucoup de personnes au Maghreb, être homophobe est presque naturel». «En ce moment en Tunisie, ça part dans tous les sens et nous voyons même apparaître des petites milices qui veulent remettre la société dans le droit chemin», confirme Khouloud.

Ingratitude
Pour ces militants, le pire ennemi semble l’isolement et, parmi leurs anciens compagnons de révolution, leurs revendications ne rencontrent aucun écho. «Pendant la révolte, la communauté LGBT a participé aux manifestations. Dans la rue, il n’y avait aucune discrimination entre hommes, femmes et homos, se souvient Khouloud. Les homos aussi se sont rebellés, eux aussi ont été arrêtés et tabassés. Mais depuis, notre sort n’intéresse personne. Cette ingratitude est insupportable.»

Là-bas, les droits des homos ne sont pas des droits de l’homme comme les autres, et ne sont jamais évoqués par les associations ou les partis de gauche. Même Amnesty international l’avoue: sur place, elle a du mal à mobiliser ses membres autour des thèmes LGBT.

Convaincre les chefs d'Etat
Faute de soutiens, la plupart des militants ont dû constituer leurs propres associations. Leur existence est plus ou moins officielle, leur but plus ou moins avoué. Progressivement, elles ont obtenu l’appui de nombreuses associations internationales et se sont faites connaître auprès de leurs compatriotes émigrés en Europe.
Maintenant, c’est de la part des Etats occidentaux qu’elles espèrent de l’aide.

François Zimeray, ambassadeur de France pour les Droits de l’Homme et initiateur de cette rencontre, affirme que, pour la France, «leur cause n’est pas oubliée», et que «chacun doit pouvoir être ce qu’il est, là où il vit.»

Parmi les nouvelles pistes envisagées pour soutenir les droits homos: confier au réseau de centres culturels français la sensibilisation sur les discriminations, et peser au sein de l’OCDE et de l’Organisation Internationale de la Francophonie pour convaincre les chefs d’Etat de renoncer aux politiques homophobes. Mais l’Ambassadeur prévient d’emblée: la partie est loin d’être gagnée.  



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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 18:56

Par Christophe Cordier 

 

Il y a quelques jours, la Belgique connaissait son premier cas de meurtre à caractère homophobe. Les associations LGBT du pays viennent de tirer la sonnette d'alarme auprès du gouvernement.

 

 

A peine le caractère homophobe du meurtre d’Ihsane Jarfi officiellement reconnu (lire notre article), le premier ministre belge Elio Di Rupo twittait: «Il faut agir.» Moins d’une semaine plus tard, les représentants des associations LGBT flamandes, bruxelloises et wallonnes ont donc été reçus jeudi dernier à Bruxelles. La ministre de l’Intérieur Joëlle Milquet et la ministre de la Justice Annemie Turtelboom étaient également présentes.

Les associations ont ressenti beaucoup d’ouverture et de bonne volonté durant cette réunion, qui a duré 2h. Elles ont d’abord tiré la sonnette d’alarme: la loi anti-discrimination, qui existe depuis 2003, ne fonctionne pas. Il n’y a pas assez de dépôts de plainte, pas assez de suivi judiciaire. Les associations ont donc interpellé les élus sur la formation des policiers ou la nomination d’un agent ou d’un magistrat de référence dans chaque zone de police ou dans chaque arrondissement judiciaire. Les associations ont également expliqué aux ministres ce qu’étaient les principes de Yogyakarta, très stricts en matière de transphobie, et auxquels la Belgique pourrait adhérer à condition de modifier certains textes de lois.

Un Plan national contre l’homophobie
La ministre de l’Intérieur Joëlle Milquet a proposé d’autoriser le dépôt de plainte anonyme. Un projet parmi d’autres, qui fera partie d’un Plan national contre l’homophobie qui devra impérativement être présenté avant la fin 2012. Par ailleurs, l’évaluation de la loi anti-discrimination est prévue par la déclaration gouvernementale et devra donc se faire avant la fin de la législature.

D’autres réunions restent à prévoir avec les ministres de l’Enseignement (sujet qui dépend des Régions, et pas du gouvernement fédéral) concernant l’éducation et la prévention en milieu scolaire, ainsi qu’avec les ministres de la Santé, au sujet par exemple de l’interdiction du don de sang pour les homosexuels. A l’issue de la réunion, les associations ont exprimé leur satisfaction et leur sentiment d’avoir été entendues.

Photo: DR.src tetu.com

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 21:13

Numéro 2 surprise de la première primaire républicaine, véritable réactionnaire, Rick Santorum est aussi la risée des démocrates depuis qu'une campagne web l'associe à la sodomie...

 

 

Rick Santorum avec le résultat lorsque l'on tape «Santorum» sur Google.

Rick Santorum, 53 ans, a enfin obtenu l'heure de gloire qu'il attendait. Devant Mitt Romney, éternel numéro 2 des sondages et pourtant probable futur candidat officiel du parti républicain pour l'élection présidentielle de novembre aux Etats-Unis, ils ont tous ou presque défilé à la place de numéro 1: Rick Perry, Herman Cain, Michele Bachmann, Newt Gingrich… Tous ont l'ambition de rassembler les voix conservatrices du «Tea Party» et donc, tous rivalisent de propos antigays. Mais c'est le plus homophobe de tous qui s'est positionné hier à huit voix seulement de Mitt Romney, lors du caucus de l'Iowa.

Le «problème Google»
Mais quand on tape «Santorum» sur Google, la réponse est pour le moins suprenante. Le premier résultat, en effet, est un site qui définit le terme de cette manière fantaisiste… et peu appétissante: «Santorum (san-TOR-um). Nom. Le mélange mousseux de lubrifiant et de matière fécale qui est parfois le sous-produit d'une relation sexuelle anale.»

L'origine de cette bizarrerie, c'est cette déclaration faite par Santorum, alors sénateur de Pennsylvanie, en 2003. Il avait déclaré: «Aucune société, à ma connaissance, n'a inclu l'homosexualité dans la définition du mariage. Ni un homme avec un enfant, ou un homme avec un chien.» Une réponse qui avait fait scandale. Et le journaliste gay Dan Savage (photo ci-contre), initiateur depuis de la campagne «It Gets Better» (lire notre article) a alors lancé ce défi à ses auditeurs dans sa chronique Savage Love: trouver un néologisme pour le mot «Santorum» et le faire monter en premier résultat des recherches Google… Une action de «google bombing» qui a été si efficace qu'elle fonctionne encore aujourd'hui.

Un amendement anti-homos
En démarrant sa campagne, Rick Santorum a demandé l'aide de Google pour modifier l'ordre d'apparition des résultats. Ce que le moteur de recherche a refusé, arguant que le résultat de ses recherches «n'est jamais modifié pour une situation particulière, hors atteinte à la loi». Il faut dire qu'un tel «problème Google» fait tache, c'est le cas de le dire, dans le cadre d'une campagne présidentielle…

Pourtant, l'ancien sénateur n'a adouci en rien son discours sur les homosexuels. Résolument hostile au mariage des couples homos, il a même récemment annoncé que s'il était élu président des Etats-Unis, il soutiendrait un amendement constitutionnel invalidant les milliers de mariages homosexuels déjà conclus dans plusieurs Etats américains, et notamment l'Iowa. Sa remontée récente dans les sondages, et son résultat au caucus de l'Iowa, est donc une nouvelle inquiétante pour les LGBT américains… même si Santorum, jugé peu crédible, a une chance quasi nulle d'être nommé pour affronter Barack Obama en novembre.

L'an dernier, Dan Savage s'est amusé à formuler une nouvelle menace, pour de faux cette fois, envers Rick Santorum: s'il n'arrêtait pas de s'en prendre aux gays, il ne lancerait plus une Google-bombe sur le mot Santorum, mais cette fois carrément sur son prénom, Rick! Des «Rick» anonyme l'implorent de changer sa position… Regardez cette vidéo amusante pour «Funny or Die»:

 

Mise à jour 15h45: Le clan Obama parle de «victoire des extrémistes»
«Le programme extrémiste du tea party a remporté une nette victoire», a déclaré dans un communiqué, peu après l'annonce des résultats en Iowa, le directeur de campagne de Barack Obama, Jim Messina.

«Peu importe qui les républicains désigneront comme candidat, nous aurons à nous battre contre quelqu'un qui a adopté ces idées dans le but de gagner, jurant de laisser Wall Street dicter ses propres règles, de mettre un terme au Medicare, de revenir sur les droits des homosexuels (…). En regardant tout ce cirque à la télévision, nous sommes tentés de penser que tout cela est presque risible. Mais ce n'est pas une plaisanterie. Nous devons être prêts», a ajouté Jim Messina.

 

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 17:30

http://img.e-llico.com/thumbnail_1320741140.jpgPresque un élève sur deux (48%) de collège et de lycée aux Etats-Unis souffre de harcèlement sexuel, directement ou sur internet, affirme une étude publiée lundi.

 

Les filles, à 56%, sont plus susceptibles d'en être la cible que les garçons (40%). Le harcèlement verbal (plaisanteries, commentaires) représente la majorité des cas, et un tiers se déroule sur internet (mails, Facebook) ou par SMS. 18%, garçons comme filles, ont été traités d'homosexuels comme une injure.

"Le harcèlement sexuel fait partie de la réalité quotidienne dans les collèges et lycées", affirme l'étude réalisée auprès de 1.965 élèves interrogés par l'Association des femmes américaines universitaires (AAUW).

Seulement 9% des incidents sont rapportés aux professeurs ou personnel spécialisé, indique le rapport, alors que ce harcèlement est mal vécu par 87% des jeunes interrogés.

L'étude analyse également les motivations des jeunes qui harcèlent. Pour 44%, cela fait partie de la vie quotidienne dans un établissement scolaire, pour 39% parce "que c'était drôle", 34% pensent qu'ils ont été "bêtes", alors que 23% agissaient par vengeance.

Ce harcèlement entraîne des effets négatifs sur la scolarité tels que difficultés scolaires, absentéisme ou encore abandon d'activités extra-scolaires.

Chez les jeunes gays, le harcèlement est un véritable fléau avec des effets plus tragiques encore, comme une série de suicides en a témoigné ces derniers mois.

Aux Etats-Unis, le collège est fréquenté par des jeunes de 11 à 13 ans et le lycée de 14 à 18 ans.

 

 

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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 16:08

http://img.e-llico.com/thumbnail_1318237041.jpgUn étudiant américain décrit dans une vidéo comment il a été torturé pendant un mois par son père qui voulait le transformer en hétérosexuel.

Samuel Brinton, étudiant à l'Université du Kansas, raconte que son père - un missionnaire baptiste du Sud - l'a battu, brûlé et électrocuté afin de le faire renoncer à son orientation sexuelle.

Le jeune homme affirme qu'il a réalisé qu'il était gay à l'âge de 12 ans.

Lorsqu'il a annoncé à son pèren ce dernier l'a assommé si brutalement qu'il a dû être hospitalisé.

Il sera sévèrement battu de la sorte à six reprises.

Samuel a également été brûlé ou forcé de tenir des glacçons en regardant les images d'hommes s'embrassant afin de lui faire associer l'homosexualité avec la douleur.

Le pire est venu sous la forme de ce que le jeune homme décrit comme le "mois de l'enfer", dans lequel des aiguilles lui ont été  enfoncés dans les doigts pour administrer des décharges électriques alors qu'il visonnait porno gay.

Samuel a envisagé le suicide quand sa mère lui a dit qu'elle l'aimerait à nouveau s'il devenait hétérosexuel.

L'étudiant a alors décidé de faire semblant de l'être. Mais quand il a quitté la maison familiale pour l'université, il a confirmé son homosexualité, ce qui lui a valu d'être menacé de mort par son père s'il revenait vers sa famille.

"J'ai essayé de les appeler plusieurs fois", affirme le garçon. "La dernière fois, mon père m'a dit qu'il allait me tirerait dessus si jamais j'essayais de me présenter devant sa porte."

 

 

 

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 15:03

http://img.e-llico.com/thumbnail_1316007380.jpgUne nouvelle organisation internationale - Kaleidoscope - vient d'être lancée avec l'objectif de faire abolir les lois homophobes encore en vigueur dans de nombreux pays de l'ex-empire britannique.
Les dirigeants des trois principaux partis politiques britanniques - le Premier ministre conservateur David Cameron, le vice-Premier ministre libéral Nick Clegg et le leader du Parti travailliste Ed Miliband - ont apporté leur soutien à un nouveau groupe international qui enetend lutter contre l'homophobie dans le Commonwealth.

Officiellement lancée à la Chambre des communes en présence d'Elton John et George Michael l'organisation Kaleidoscope a pour objectif du groupe est de faire abroger les vieilles lois coloniales homophobes encore en vigueur dans de nombreux pays de l'ex-empire britannique.

Sur les 54 pays membres du Commonwealth, 38 Etats considèrent aujourd'hui encore l'homosexualité comme un crime, avec des peines allant jusqu'à la prison à perpétuité.

Kaleidoscope veut faire pression de manière coordonnée sur les gouvernements pour qu'ils changent leur législation de la nouvelle organisation en raison de ses liens avec le Commonwealt mais aussi en tant que centre d'affaires international.

En effet, l'organisation souhaite aussi que de grandes entreprises internationales puissent faire pression sur les gouvernements.

"Dans certains pays, il est consternant de voir comment les gens sont traités – à quel point leurs droits sont foulés aux pieds et eux-mêmes victimes de préjugés, voire de violences", a déclaré le premier ministre, souhaitant "que le Royaume-Uni soit un phare de la réforme dans le monde."

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 15:02


http://img.e-llico.com/thumbnail_1316012489.jpgUne manifestation anti-pape, organisée par des associations LGBT à l'occasion d'une visite du pape à Berlin, se voit interdite pour de prétendue raisons de sécurité.
Un tribunal berlinois a interdit mercredi qu'une manifestation contre l'intervention du pape devant le parlement allemand le 22 septembre, qui pourrait attirer jusqu'à 20.000 personnes selon les organisateurs, ait accès à la Porte de Brandebourg.

Ce rassemblement, à l'appel d'un collectif d'une soixantaine d'associations homosexuelles, laïques ou encore de victimes d'actes pédophiles, devait partir du monument le plus célèbre de la capitale allemande, distant de quelques centaines de mètre du Reichstag, au moment du discours de Benoît XVI prévu le jeudi 22 en milieu d'après-midi.

Le tribunal administratif de Berlin, tout en reconnaissant le droit des manifestants à défiler, a estimé que des raisons de sécurité s'opposent à ce projet.

"Cet itinéraire n'est pas compatible avec le haut niveau de risques potentiels et avec les exigences élevées de protection du Pape, ainsi que des représentants allemands de haut rang et des ambassadeurs étrangers", a expliqué le tribunal dans un communiqué, se rangeant aux arguments de la police.

"Nous voulions manifester le plus près possible du lieu de l'évènement et démarrer à portée d'oreille du Reichstag. Il est décevant de voir que le tribunal n'a pas compris cela", a déclaré à l'AFP Günter Dworek, responsable de la confédération lesbienne et gay allemande, l'un des organisateurs.

"Nous allons discuter avec les autres organisations du collectif pour savoir si nous faisons appel", a-t-il ajouté.

Le collectif d'association a déjà évoqué un autre itinéraire qui démarrerait de la Potsdamer Platz, à plus d'un kilomètre du Reichstag. "Ce serait à une distance acceptable du Reichstag, mais pas à proximité immédiate", a regretté Günter Dworek.

Avec AFP
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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 17:55

http://www.e-llico.com/img/robo.jpgLe maire UMP de Vannes, David Robo, a répondu défavorablement à la demande qui lui était faite par deux homosexuels de sa commne d'officialiser en mairie leur PaCS.

Cette demande avait été faite en mai dernier, mais le maire souhaitait consulter sa majorité avant de prendre sa décision.

"C'est une décision collective. La majorité souhaite s'en tenir au cadre réglementaire qui veut que le PaCS soit signé soit chez le notaire, soit devant le tribunal. Mais pas en mairie... Il appartient au législateur et non aux élus locaux de trancher ce sujet. Il y a une loi et je la respecte, s'est défendu le maire.
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Présentation

  • : gaymarocmusul
  • : je cree ce blog pour venir faire connaitre mes idees , je suis gay et j'ai vecu une longue histoire avec un musulman, je veut ici partager des idees avec les gens du monde , chacun est le bienvenu pour laisser un com , je repondrai tjrs en donnat mon avis perso , meme si parfois je pourrais choquer certaine personne , alors apprenez a dialoguer et a etre a l'ecoute des autres , vous en ressortirez bien plus grand , bonne visite a tous
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