gaymarocmusul

apres les annees noires de terrorismes en algerie qui ont particulierement touché la capitale alger , ont finalement donné lieu a l'explosion de phenomenes nouveaux, s'exprimant jadis dans la clandestinitéles gay de la capitale n(ont cette fois plus besoin de se cacher ils apparaissent sans complexe au grand jour ! nombreux sont aujourdhui les gay qui occuppent un des boulevards les plus huppés de la capital , certain plus connus sous le sobriquet de " madonna" y excerce meme leur activité sur les trottoirs, l'algerie qui se voyais collees d'une image deformee d'un pays dominé par l'islamisme et ou l'intolerance aurait grignotél'ensemble des espaces de libertés 
contrairement a l'egypte qui jugent  ses homosexuels l'algerie tolereraient les siens et cela sans complexe!!!
je dois dire que j'ai ete un peu septique a la lecture de cet article dans un magasine mais bon ! je veut bien y croire mais je dirai que pour etre certain j'attendrai les reactions des gens ou des personnes concernees vivant en algerie , je pense que avec nos amis algerien de alger puisque il s'agit ici de cette ville nous devrions en apprendre d'avantage et voir plus claire dans cet article , merci de vos reactions

au maroc , oui le phenomene homosexuel existe bien , mais helas il reste toujours perçus comme un tabou !!, les homosexuels sont la , on les croisent dans la rue , nous les evitons, nous les tolerons, nous les marginalisons, mais rares sont les moments ou nous les affrontons pour mettre a nu leurs  orientation sexuelles.au maroc on parle aussi de tourisme sexuel, que beaucoup de marocain , d'ailleurs a ce sujet disent souvent que "le mal viens toujours d'ailleurs "
pour comprendre ce qui se passe au maroc rellement , il faut evoquer se qui  existe ailleurs , chaque annees il est vrai que les gay organisent leurs manifestations de par le monde pour affirmer leur existance et reclamer leurs droits a la reconnaissance !!
et comme le monde n'est qu'un petit village , le maroc aussi n'est pas epargné, le phenomene va de mal en pie brisons donc la loi du silence , OUI  les homos sont nos freres , nos soeurs , nos amis , nos maris , et la liste peu etre tres longue !!
reste maintenant a esperer que le maroc tout comme d'autre pays , finirons par accepter les differences des autres , arretons de penser que les homos sont des anomalies de la societer !! car alors chaque personne differente sera anormale ?
il y a les gens qui nous ont deja accpeté , et qui nous respectes merci a vous tous alors ensemble levons nous encore vers ceux qui restent bloqué dans leurs idees ! apprenons a connaitre les autres car dans vos amis ce cache peu etre un homo !! qui sais ?  personne ne peu le dire , et encore moins au maroc ou les jeunes udent de ruses tres techniques !!! c'est vrai que s'ils veulent continuer a vivre en paix ils doivent etre mefiant faces a trop d'homophobes , courage , restons fier et marchons la tete haute !!!

Marianne Rosenberg est une chanteuse allemande tres populaire dans les annees septante , elle arrive en belgique avec le disco et notament ses titres comme  ich bin wie du ou encore er gehort zu mir, tres appreciees dans le milieu homo de l'epoque , il n'est pas une discotheque ou vous n'entendiez ces titres , Marianne Rosenberg continue d'etre tres populaire en allemagne ou elle continue de faire de nombreux galas son tube  ich bie wie du est encore aussi tout a fait dans le coup , il avais ete remixé dans les annees 90 puis 98 et le voila a nouveau remis sur les rails , quand a moi c'est la version 98 que j'aime beaucoup je laisse donc voir cette video pour vous rememorer de bons souvenirs , marianne fetera cette annees ces  53 ans , souhaitons lui encore de belles et nombreuses annees , le disco une musique longtemps et souvent critiquee mais qui de nos jours reste bien actuelle , trop de jeune crois encore que leurs stars preferees actuelles on créé certains titres !!! et se trouve tout etonné quand on leurs montre la veriter bons nombres de tube actuel ne sont en effet que des reprises des stars des annees septante !!

sur le theme d'une amitié imprevisible, cocasse et poignante , entre un petit delinquant seul au monde et un jeune fonctionnaire idealiste, didier  van Cauvwelaert a ecrit une comedie cruelle et tendre ou il nous fait partager leurs malentendus , leurs illusions , leurs reves impossibles et l'energie de leurs espoirs , de la satire subversive a l'emotion sans fard , l'auteur de "poisson d'amour et de un objet en souffrance" donne avec ce nouveau roman la plus brillante expression de son talent . Aziz Kémal est un jeune homme de dix-neuf ans qui vit depuis son enfance dans les quartiers Nord de Marseille. Petit, il a été retrouvé dans une voiture accidentée, une Ami 6, par des Tsiganes qui l'élèvent comme leur propre fils. Malheureusement, Aziz ne connaît rien de son passé et le jour de son mariage avec Lila, il se fait arrêter lors d'une rafle de police. Ses faux-papiers le disent marocain, originaire d'Irghiz, village du Haut-Atlas, alors qu'il n'y a jamais mis les pieds... Le gouvernement le considère comme clandestin et l'expulse. Mais pour redorer son image dans cette opération, il lui adresse Jean-Pierre Schneider, un jeune "attaché humanitaire" qui le reconduira dans son pays. Quelques jours avant le grand départ d'Aziz, Jean-Pierre lui demande où, exactement se trouve son village et Aziz ne connaissant rien de son passé, pointe au hasard un endroit du Haut-Atlas. À partir de ce jour, les aventures commencent pour eux...

Salah Mreda, 25 ans, marocain, homosexuel, a obtenu il y a quelques jours le statut de réfugié en Italie. La Commission Territoriale qui évalue les demandes d’asile l’a retenu apte, parce que dans son pays l’homosexualité est punie. Il avait fui le Maroc après une détention de quelque mois et une condamnation pour “actes sexuels contre nature”. En Italie (données fournies de l’UNHCR, l’agence de l’Onu pour les réfugiés), ils sont une quarantaine de personnes homosexuelles extracommunautaires qui ont obtenu l’asile ou une permission humanitaire en vertu de leur orientation sexuelle. Mais ils sont peu à vouloir raconter leur histoire. Salah a choisi de le faire. “Je me suis aperçu que j’étais homosexuel à mon adolescence. J’aimais danser et me travestir, lorsque je regardais des films, je ne voyais que les hommes. À 17 ans j’ai commencé à rencontrer d’autres garçons mais je vivais dans l’ombre parce que les gens ne comprennent pas. Il y a tant de gays au Maroc. Même à Marrakech, tu peux rencontrer quelqu’un mais si la police t’arrête, tu as des ennuis. Tout doit être fait en cachette et c’est même un problème pour entrer dans les maisons. S’ils te trouvent efféminé, tu peux prendre deux ou trois mois de prison. S’ils te prennent avec quelqu’un, la condamnation est de six mois. Naturellement, si tu as de l’argent, ils t’abaissent la peine, mais de toute façon le problème subsiste. À Marrakech, il y avait un bar-discothèque, pas totalement gay, mais où la plupart des clients étaient homosexuels. Il y avait beaucoup de touristes, surtout des Français. Un policier travaillait dans ce local, il photographiait les garçons qui entraient et il y avait même la possibilité de contrôler les identités car à l’entrée ils demandaient les papiers. Après environ un an, ils ont eu assez d’informations pour pouvoir fermer la discothèque et arrêter les propriétaires, deux Français, qui ont été ensuite condamnés à deux et quatre ans de prison. Il y avait même un militaire marocain, homosexuel, qui a pris quatre ans. Ils ont cherché et ils ont contrôlé les clients. J’étais un de ceux-ci, ils m’ont suivi pendant quelques jours, ils m’ont photographié. Je travaillais dans un hôtel et je fréquentais l’école hôtelière. Un soir, je suis allé à la maison de deux amis français et la police est arrivée : ils ont trouvé des préservatifs, un tube de gel et, sur mon cellulaire, des messages affectueux. Ils nous ont amenés en commissariat, où pendant quatre jours ils m’ont laissé sans nourriture, menacé et malmené. Ensuite ils m’ont emprisonné et poursuivi en justice. Ils m’ont condamné à cinq mois de prison mais comme j’avais déjà effectué une partie de la peine, j’ai réussi à sortir. Ma famille a su que j’étais gay lorsque j’ai été mis en prison. Mes amis français m’ont aidé à sortir du Maroc. Je suis allé à Modène chez mon oncle, ensuite je suis venu à Turin. Les activistes du groupe Abele, ont pris un avocat, qui a réussi à obtenir toute la documentation des procès que j’avais eus au Maroc. J’ai raconté mon histoire et j’ai été accueilli comme réfugié. Maintenant j’habite à Turin, je travaille comme assistant pour les personnes âgés, je me suis inscrit dans une école d’informatique. Je ne veux plus revenir dans mon pays, je parle avec ma mère au téléphone, elle ne veut pas accepter mon homosexualité et elle me propose de me marier. Tu peux changer, dit-elle…”

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