14 janvier 2010
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17:07
La commission de la défense du Sénat américain examinera prochainement la question de l'abrogation d'une loi imposant aux militaires homosexuels de cacher leur orientation sexuelle, a indiqué mercredi le président démocrate de la commission, Carl Levin.
"C'est en cours", a dit Carl Levin lors d'une conférence de presse téléphonique, évoquant "une date dans les environs des derniers jours de janvier".
La loi "Don't ask, don't tell" ("Ne rien demander, ne rien dire") impose aux militaires américains homosexuels de ne pas dévoiler leur préférence sexuelles.
Depuis son adoption en 1993, plus de 13.000 soldats ont été renvoyés parce qu'ils avaient évoqué leur homosexualité ou qu'ils avaient été dénoncés. La Cour des comptes américaine (GAO) estime que ces révocations ont coûté près de 200 millions de dollars au contribuable en frais de recrutement et de formation.
Un projet de loi visant mettre fin au "Don't ask, don't tell" a été déposé à la Chambre des représentants en mars mais n'a toujours pas été examiné.
Barack Obama s'est attiré des critiques de la part des groupes de défense des droits des homosexuels pour ne pas avoir fait abroger la loi, préférant laisser l'initiative au Congrès. src e-llico
"C'est en cours", a dit Carl Levin lors d'une conférence de presse téléphonique, évoquant "une date dans les environs des derniers jours de janvier".
La loi "Don't ask, don't tell" ("Ne rien demander, ne rien dire") impose aux militaires américains homosexuels de ne pas dévoiler leur préférence sexuelles.
Depuis son adoption en 1993, plus de 13.000 soldats ont été renvoyés parce qu'ils avaient évoqué leur homosexualité ou qu'ils avaient été dénoncés. La Cour des comptes américaine (GAO) estime que ces révocations ont coûté près de 200 millions de dollars au contribuable en frais de recrutement et de formation.
Un projet de loi visant mettre fin au "Don't ask, don't tell" a été déposé à la Chambre des représentants en mars mais n'a toujours pas été examiné.
Barack Obama s'est attiré des critiques de la part des groupes de défense des droits des homosexuels pour ne pas avoir fait abroger la loi, préférant laisser l'initiative au Congrès. src e-llico