gaymarocmusul

L'ambassadeur de France à l'ONU à Genève a prôné la dépénalisation de l'homosexualité devant la Conférence contre le racisme, réunie en plénière mercredi.
L'ambassadeur de France à l'ONU à Genève, Jean-Baptiste Mattéi, a dénoncé mercredi le discours de "haine" tenu lundi dernier par le président iranien Mahmoud Ahmadinejad à la tribune de la conférence contre le racisme.

"Nous n'accepterons pas que cette conférence soit détournée de son objet ni prise en otage. Nous n'accepterons pas que cette tribune devienne une tribune de haine", a lancé le représentant de la France devant la Conférence réunie en plénière.

"La France a décidé de rester présente pour faire entendre une autre voix, celle de la tolérance et de la responsabilité", a expliqué Jean-Baptiste Mattéi.

L'ambassadeur français a par ailleurs prôné l'égalité entre hommes et femmes, la dépénalisation de l'homosexualité et la liberté de conscience, des thèmes particulièrement sensibles pour l'Iran, qui réprime notamment l'homosexualité et l'apostasie.

"Notre combat contre le racisme passe par la liberté de conscience, de croire ou de ne pas croire, par la pleine égalité des femmes et des hommes, par la dépénalisation de l'homosexualité, par la lutte contre le négationnisme...", a déclaré Jean-Baptiste Mattéi.

Téhéran a obtenu que le document n'aborde pas explicitement le thème de l'homosexualité. Celui-ci est cependant évoqué entre les lignes sous le vocable vague de "formes multiples et aggravées de discrimination", selon plusieurs diplomates qui ont participé à la négociation du texte. src e-llico

Il y a 20 ans, le 21 avril 1989, sortait dans le commerce la première console de jeu vidéo de poche à cartouche interchangeable, la Game Boy du japonais Nintendo, une révolution pour les enfants de l'époque et un tremplin pour l'industrie du divertissement.


Lorsqu'en ce printemps 1989, en pleine période délirante de bulle financière et immobilière, la Game Boy fut lancée au Japon, les jeunes Nippons étaient déjà des férus de jeux sur TV grâce à Nintendo et à sa console de salon "Famicon" arrivée dans les foyers en 1983.

Pouvoir trimbaler leur nouvel amusement high-tech favori était le rêve des gamins d'alors. La firme de Kyoto fut la première à le réaliser.

La Game Boy, vendue 8.000 yens à l'époque (61,5 euros actuels), c'est "35 heures de jeu dans la poche avec quatre piles bâtons", clamait la publicité.

Auparavant Nintendo proposait déjà des petits jeux électroniques très simples, appelés Game & Watch, mais il était impossible d'en changer le contenu.

Avec la Game Boy, dont le nom est à jamais associé au jeu Tetris (puzzle casse-tête indémodable) ou aux aventures interminables de Pikachu et de sa clique de Pocket Monsters, sont nés et ont prospéré les studios de développement.

La famille de consoles Game Boy (qui comprend aussi les versions "pocket", "lite" et "color") s'est écoulée à quelque 118 millions d'unités. A ce record s'ajoutent quelque 82 millions d'unités de la génération suivante, la série "Game Boy Advance".

Quant au nombre de cartouches vendues, il se chiffre en milliards.

2009, vingt ans plus tard, la bulle a éclaté, la crise a frappé, mais le même Nintendo continue de se jouer de la conjoncture. Il fait toujours la course en tête sur le marché des machines portables, même si Sony est aujourd'hui aussi de la partie avec la PSP.

Célèbre également pour avoir créé la figure indéboulonnable du plombier Mario, Nintendo a de nouveau métamorphosé le monde du jeu en 2004 avec la DS, modèle inaugural d'une série de consoles portable à deux écrans (dont un tactile) qui se sont déjà arrachées à plus de 100 millions d'unités dans le monde.

Belga

Afrique du Sud : accession annoncée d'un homophobe à la présidence du pays

Les élections générales qui se déroulent aujourd'hui en Afrique du Sud risquent fort de conduire à la tête du pays Jacob Zuma, connu pour son homophobie ouverte et ses positions inquiétantes sur le sida.
Candidat de l'ANC (African National Congress), ce militant historique du combat anti-apartheid est un polygame revendiqué et a eu maille à partir avec la justice pour de très graves affaires de corruption et un viol.
Son parti est néanmoins crédité de 60% des intentions de vote, ce qui devrait lui garantir l'accès à la présidence du pays.
Opposant au mariage gay - légalisé en Afrique du Sud - il avait estimé que cette mesure constituait "une disgrâce pour la nation et pour Dieu".
Concernant le sida, qu'attendre d'un homme qui expliquait en 2006 à la barre de son procès pour le viol d'une jeune fille avoir pris une douche pour se laver du sida après un rapport non protégé?

src e-llico

La Conférence de l'ONU sur le racisme a débuté aujourd'hui à Genève dans un climat de polémique et d'inquiétude en l'absence de nombreux pays qui craignent que des considérations religieuses ne détournent la conférence de ses buts. La question des droits de femmes et des homosexuels, notamment, a été éliminée, les pays musulmans et le Vatican s'y opposant.
La Conférence de l'ONU sur le racisme dite de "Durban II" a débuté aujourd'hui à Genève dans un climat de polémique et d'inquiétude, après la défection de plusieurs pays occidentaux craignant - à juste titre - des dérapages liés à la venue du président iranien Mahmoud Ahmadinejad.

Les Etats-Unis, l'Australie, l'Allemagne et les Pays-Bas avaient finalement annoncé qu'ils ne participeraient pas à la conférence.
Israël et le Canada avaient, quant à eux, fait savoir de longue date qu'ils ne seraient pas présents et l'Italie leur avait emboîté le pas début mars.

"La conférence est trop importante pour qu'elle fasse l'objet d'un détournement à des fins politiques et d'attaques contre l'Occident", s'est expliqué le ministre néerlandais des Affaires étrangères Maxim Verhagen. Il redoute de "voir passer la religion avant les droits de l'Homme" et de " voir niées les discriminations envers l'homosexualité".

En effet, après d'âpres négociations, la question des discriminations liées à l'homosexualité, défendue par les capitales occidentales au grand dam des pays musulmans et africains ainsi que du Vatican, a été supprimée et ne trouve plus place dans le projet de déclaration finale.
L'homosexualité et les droits des femmes ne constituent pas un droit de l'Homme pour les pays dans lesquels la religion prime ou se mêle à la politique.

Malgré ces divergences, la France a décidé de participer à la réunion. Elle est représentée par un ambassadeur, mais a quitté la salle avec les représentants de l'Union européenne présents quand le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a qualifié la création d’Israël après 1945 de "gouvernement raciste", comme l'avait menacé le chef de la diplomatie Bernard Kouchner sur France Info lundi matin.

"Israël n'est pas stigmatisé, la diffamation des religions ne relève pas du domaine des droits de l'Homme mais n'est pas mentionnée, la liberté d'expression est réaffirmée, on fait même mention, comme si c'était un exploit, de l'holocauste", a expliqué le ministre pour justifier la participation française.

L'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch a appelé jeudi les participants à la Conférence à ne pas laisser l'Iran et son président compromettre la réunion. Pour HRW, "d'énormes progrès" ont été accomplis au cours des mois passés "pour produire une déclaration qui unisse le monde contre le fléau du racisme".

Le projet de déclaration finale marque un "net progrès", a également estimé jeudi l'ancien ministre français de la Justice Robert Badinter, venu à Genèvre suivre les négociations.

> Le PS demande que la France quitte la salle lors du discours d'Ahmadinejad

Le Parti socialiste avait demandé lundi matin que la délégation française à la Conférence sur le racisme "quitte la salle" lors de l'intervention du président iranien Mahmoud Ahmadinejad "pour marquer fortement la condamnation par la France des attaques et débordements dont il est coutumier".
Le PS demande également "une extrême vigilance quant au contenu de la déclaration finale". "La condamnation de l'antisémitisme et de l'holocauste doivent y figurer explicitement. Le refus de toute discrimination, notamment à l'égard des femmes et des homosexuels, doit être réaffirmé".
"C'est à cette condition que cette conférence sera susceptible de représenter une avancée pour les femmes et les hommes qui souffrent du racisme, de la xénophobie et des discriminations à travers le monde", souligne le PS.
src e-llico

suivez ce lien pour voir susan , vraiment sa en vaut la peine clique ici  je suis tres content pour elle

Quand Susan Boyle arrive sur la scène pour les sélections de l'émission Britain's got talent, les sourires narquois, voire carrément moqueurs, se dessinent sur bien des visages du public, et même des trois membres du jury.

Susan a 47 ans, est assez ronde et arbore un look plutôt vintage. Elle est au chômage et avoue n'avoir jamais eu de petit ami. Les ricanements redoublent d'intensité... Mais Susan sait qu'elle possède une qualité dont sont dépourvues bien des bimbos du top50 : c'est sa voix. Une voix magnifique, qui sublime la chanson qu'elle a choisi d'interpréter : I dreamed a dream... sans doute le rêve qu'elle désire plus que tout réaliser : devenir chanteuse professionnelle.