Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 15:29
Avec sa nouvelle comédie "Rose et noir", qui sort en salles le 14 octobre, Gérard Jugnot affirme vouloir lutter contre l'intolérance et l'homophobie.
En l'an 1577, en pleine période obscure de l'Inquisition, le grand couturier Pic Saint-Loup (Gérard Jugnot) se voit confier par le roi Henri III (Arthur Jugnot) la tâche de réaliser une prestigieuse robe de cérémonie pour le mariage d'un de ses neveux avec la fille d'un grand d'Espagne.

Commence alors un périple qui va se transformer en cauchemar pour Pic Saint-Loup, personnage maniéré, pomponné et tout vêtu de rose qui va le conduire directement chez le grand inquisiteur de Séville.

Attisant encore plus la suspicion des inquisiteurs espagnols adeptes de la "question", l'excentrique couturier s'est entouré d'un secrétaire protestant (Bernard Le Coq) bien décidé à venger les morts de la Saint-Barthélemy, un assistant musulman grimé en Normand (Assaad Bouab), un parfumeur juif (Stéphane Debac) et un coiffeur homosexuel (Patrick Haudecoeur).

Pour Gérard Jugnot, qui est également le réalisateur de la comédie, "ce film (...) fait référence à tout ce qui peut nous préoccuper dans le monde au sujet de l'intolérance religieuse, sexuelle et sociale".





"J'aurais pu faire un truc contemporain, où je raconte l'histoire d'un grand couturier un peu inconscient, un Lagerfeld qui est envoyé par Sarkozy faire une robe chez les talibans", raconte-t-il dans un entretien à l'AFP.

"L'intolérance ou l'homophobie sont des choses condamnables, ce ne sont pas des idées nouvelles. Mais il se trouve que c'est bon de les mettre dans des grandes comédies populaires", estime Gérard Jugnot.
src e-llico
Partager cet article
Repost0
2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 15:27
Les condamnations se succèdent dans l'affaire de harcèlement contre un couple de lesbiennes survenue entre mai 2008 et juin 2009 à Segré. Un des agresseurs, mineur au moment des faits, vient d'être condamné à de la prison avec sursis et 40 heures de travaux d'intérêt général.
L'un des auteurs du harcèlement homophobe contre un couple de lesbiennes dans la petite commune de Segré, dans le Maine-et-Loire, entre mais 2008 et juin 2009, a comparu le 11 septembre dernier devant la déléguée du procureur d'Angers.
Il a été condamné à 75 euros d'amende, avec mention sur son casier judiciaire. Son père versera par ailleurs 400 euros de dommages et intérêts à chacune des victimes.

Un second agresseur présumé dans cette affaire a comparu le 30 septembre dernier.
Matthieu, mineur à l'époque des faits, était convoqué devant le tribunal pour enfants pour outrage envers des policiers et injures en raison de l'orientation sexuelle des victimes. Ces faits, qui n'avaient pas encore été jugés, datent de mai 2008. En novembre 2008, il avait déjà écopé d'un mois de prison avec sursis et de 200 euros au titre de dommages et intérêts, pour menace réitérée contre Jessica.

Selon l'association LGBT Quazar qui s'était constitué partie civile dans le dossier, Matthieu a reconnu les faits au cours de l'audience. Il a présenté ses excuses à Jessica qui était présente, et a "regretté" ses actes devant le tribunal, les expliquant par le fait d'être en bande.

Son avocat a plaidé l'immaturité sexuelle de son client et a tenté aussi de contester la constitution de partie civile de Quazar; sans succès.
Dans son réquisitoire, la procureure générale a qualifié les faits d'"intolérables envers les victimes".

A l'issue du délibéré, Matthieu a été condamné à 1 mois de prison avec sursis, assorti de 40 heures de travaux d'intérêt général, à exécuter dans les 18 mois. Il a en outre été condamné à verser 300 euros de dommages et intérêts à chaque victime et 400 euros pour frais de justice à chaque victime. Il sera suivi par le juge d'application des peines puisqu'il est désormais majeur.

Quazar a été jugé recevable dans sa constitution de partie civile, mais pas dans sa demande de dommages et intérêts au motif que l'association n'agissait pas auprès des victimes au moment des faits, en 2008.

L'association et les deux victimes accueillent ces deux premières condamnations avec prudence tant les peines sont "symboliques" à leurs yeux. Tous redoutent que la portée éducative des audiences soit "incertaine, malgré la chance qui est laissée à chacun de ces jeunes".

Quazar poursuit son soutien à Jessica et Virginie d'autant qu'un autre jeune agresseur présumé, Antoine, accompagné à nouveau de Matthieu, sont tous deux convoqués le 2 novembre devant le tribunal correctionnel d'Angers.
Le premier pour récidive de violence avec une arme et intimidation envers une victime pour qu'elle retire sa plainte et le second pour injures lesbophobes, des faits commis en juin dernier.

Source: Quazar.
Partager cet article
Repost0
2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 15:26
Le président serbe Boris Tadic a appelé jeudi à "identifier les auteurs d'actes de violence" récents en Serbie et leurs "inspirateurs", avertissant qu'ils pouvaient mener au "fascisme", lors d'un hommage à un jeune supporteur français décédé après une agression.
Dans la soirée, quelque 5.000 personnes ont défilé dans le calme dans le centre de Belgrade en direction de l'ambassade de France à l'appel d'une la "Coalition des jeunes contre la violence".

"Il est très important d'identifier les groupes à l'origine des actes de violence, les inspirateurs de ces groupes et les idées qui tendent à faire de la violence une valeur au sein de notre société", a souligné Boris Tadic (photo) devant la presse.

"Aucune société institutionnalisée ne doit créer une atmosphère de violence, car c'est précisément cette atmosphère qui débouche sur des tragédies telles que l'assassinat de Brice Taton", le supporteur français décédé mardi des suites d'une agression dans le centre de Belgrade, a dit Boris Tadic.

Boris Tadic a appelé toutes les institutions de l'Etat, les intellectuels, l'église et les citoyens à une "lutte impitoyable contre la violence", qualifiant ce combat de "priorité essentielle du pays, plus importante même que l'intégration européenne car la violence mène au fascisme".

Le président Tadic venait de déposer une gerbe de fleurs et d'allumer un cierge, place de la République, dans le centre de Belgrade, à la mémoire de Brice Taton.

La secrétaire d'Etat française aux sports, Rama Yade, accompagnée du vice-Premier ministre Bozidar Djelic, s'était également rendue un peu plus tôt place de la République pour rendre hommage à Brice Taton. Elle a été reçue jeudi matin par le président Tadic.

L'agression contre Brice Taton s'était produite juste avant la gay pride, le 20 septembre dans le centre de Belgrade, que ses organisateurs ont finalement annulée par crainte de violences, plusieurs organisations ultra-nationalistes ayant annoncé qu'elles étaient déterminées à empêcher cette manifestation par tous les moyens.

Le Conseil de sécurité nationale a adopté un paquet de mesures destinées à renforcer la sécurité après récents incidents.
src e-llico
Partager cet article
Repost0
2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 15:25
Le chef de la majorité démocrate au Sénat américain a exhorté le président Obama à abroger la loi qui autorise les homosexuels à servir sous les drapeaux à condition de cacher leur préférence sexuelle, dans une lettre rendue publique jeudi.
Dans la lettre datée du 24 septembre et adressée aussi au secrétaire à la Défense Robert Gates, Harry Reid demande aux deux hommes d'adresser au Congrès des recommandations destinées à abroger cette loi qui interdit aux homosexuels d'afficher leur orientation sexuelle sous peine d'être renvoyés.

La loi baptisée "ne rien demander, ne rien dire" est en vigueur depuis 1993.

"Alors que nous nous battons sur deux fronts (Irak et Afghanistan, ndlr) je ne crois pas que nous puissions nous permettre de renvoyer des personnes qualifiées qui sont prêtes à servir notre pays", écrit Harry Reid dans la missive.

L'abrogation de la loi était l'une des promesses de campagne de Barack Obama l'an dernier. Mais, entre la réforme de l'assurance santé et d'autres grands projets législatifs, l'administration Obama a prévenu qu'il ne fallait pas s'attendre à une initiative dans un futur proche.

L'appel d'Harry Reid intervient au moment où une revue militaire officielle publie un article en faveur d'un tel geste.

Dans la dernière livraison de la revue "Joint Force Quarterly" le colonel Om Prakash juge que les législations australienne, canadienne, israélienne ou britannique autorisant les homosexuels à ne pas faire mystère de leur orientation dans les rangs de l'armée n'avaient ni provoqué de départs massifs de soldats, ni conduit à des performances moindres des forces armées.

Interrogé sur cet article, Bryan Whitman, un porte-parole du Pentagone, a toutefois prévenu jeudi qu'il ne reflétait pas forcément l'opinion du haut-commandement américain sur le sujet.
src e-llico
Partager cet article
Repost0
1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 16:47



une des  plus belle de warda ,
Harramt ahebbak

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 16:46
Médecins Sans Frontières (MSF) a lancé mercredi une campagne électronique pour appeler neuf grands groupes pharmaceutiques à "accélérer la mise à disposition de nouveaux traitements" contre le sida, en mettant en commun leurs brevets.
Mettre en commun des brevets permet aux laboratoires de "les rendre accessibles à d'autres, afin de les produire ou les développer", et de "favoriser l'innovation", a expliqué l'organisation humanitaire dans un communiqué.

"Le système d'une 'communauté de brevets' pourrait accélérer la mise sur le marché de versions de médicaments récentes et moins coûteuses", car "la production de génériques pourrait débuter avant l'expiration des vingt années de durée légale du brevet", a expliqué MSF.

Pour tenter de faire pression sur les laboratoires sur ce sujet, MSF suggère aux internautes de se rendre à l'adresse actionformsfaccess.org/en_CH/action, d'où ils pourront écrire à neuf grands laboratoires, parmi lesquels les américains Pfizer, Bristol-Myers Squibb, Johnson & Johnson et Merck, ou le britannique GlaxoSmithKline.

MSF rappelle qu'"Unitaid, une initiative internationale d'achats de médicaments, met actuellement en place une communauté de brevets pour les médicaments anti-VIH/sida", mais que "son succès dépendra de la volonté des détenteurs de brevets de participer à cette initiative".

"Pour les compagnies pharmaceutiques, c'est le moment de montrer qu'elles souhaitent réellement s'engager à prendre des mesures efficaces pour permettre l'accès à des médicaments essentiels pour les personnes infectées dans les pays en développement", a estimé Michelle Childs, directrice à la Campagne d'accès aux médicaments essentiels de MSF, citée dans le communiqué.

"Certains laboratoires ont déjà exprimé leur intérêt, mais nous attendons qu'ils aillent plus loin, et qu'ils mettent dès à présent en commun les brevets indispensables", a-t-elle ajouté. src e-llico

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 16:43
Le tribunal administratif de Besançon examinera le 13 octobre le recours d'Emmanuelle B., l'enseignante homosexuelle à qui le Conseil général du Jura a refusé le droit d'adopter un enfant, en dépit d'un arrêt européen condamnant la France pour discrimination dans cette affaire.
"Je demande au tribunal d'annuler ce refus du président du Conseil général, qui est honteux, arbitraire et discriminatoire", a déclaré à l'AFP Me Caroline Mécary, l'avocate d'Emmanuelle B., l'enseignante qui se bat depuis des années pour pouvoir adopter un enfant.

"Je lui demande aussi qu'il enjoigne le président du Conseil général de délivrer un agrément dans les trois mois à ma cliente, car le temps joue contre elle, elle a maintenant 48 ans", a ajouté l'avocate.

L'avocate se déclare persuadée que le tribunal administratif reconnaîtra "la justesse de ses arguments", tels qu'ils ont été validés par la Cour européenne des droits de l'Homme en 2008.

Elle attend en outre d'ici un mois un avis de la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde) qui pourrait être versé au dossier devant la juridiction administrative.

Dans son arrêt de 2008 condamnant la France pour discrimination sexuelle, la Cour européenne avait souligné que le droit français autorisait bel et bien l'adoption d'un enfant par un célibataire et que la Convention européenne des droits de l'Homme interdisait de discriminer des personnes sur la base de leur orientation sexuelle.

Néanmoins, l'administration française a refusé une nouvelle fois en février dernier d'accorder son agrément à Emmanuelle B. pour une adoption, provoquant l'indignation des associations qui avaient applaudi la décision des juges européens. src ellico
Partager cet article
Repost0
30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 18:57
"Homo-ghetto" de Franck Chaumont, qui paraît aujourd'hui aux éditions du Cherche midi, témoigne de l’enfer quotidien des lesbiennes et des gays en banlieues.
La parution du livre "Homo-ghetto; Gays et lesbiennes dans les cités : les clandestins de la République" fait évènement.

De nombreux articles ou reportages dans la presse d'information généraliste ont déjà précédé l'arrivée de ce livre - rédigé par l'ancien directeur de la communication de Ni putes ni soumises et actuel assistant de la députée PS Aurélie Fillipetti - chez les libraires.

Cet ouvrage, résultat de deux années d'enquête, rassemble des témoignages forts sur le quotidien des lesbiennes et des gays identifiés comme tels dans les banlieues de la République.

"Le livre confirme ce qu’avait constaté SOS homophobie lors de son enquête dans les banlieues en 2005, souligne l'association. Ces dernières sont de véritables zones de non droit où le fait d’être identifié comme homosexuel-le-s est passible des pires châtiments (ainsi le pourcentage d'agressions physiques émanant des banlieues s'élevait à 46% des témoignages contre 12% pour le reste du territoire)".

Le livre pointe notamment comment l'abandon par l’Etat de territoires entiers, les a placés à l'écart des principes républicains et laïques. Le sexisme, le machisme et l'homophobie, issus de traditions et d'interprétations religieuses archaïques ou de phénomènes de bandes niant les individus les ont remplacés. L'homosexualité y est désormais un crime passible des pires rétorsions parcequ'elle entre en contradiction avec la culture machiste qui domine dans les cités.

Voila pourquoi Franck Chaumont qualifie les homosexuels qui vivent dans les cités de "clandestins de la République".
Pendant deux années d'enquête, il a recueilli, non sans difficulté, leurs témoignages.
"Ils s'appellent Nadir, Sébastien, Dialo, Nadia... Ils sont blacks, blancs ou beurs. Certains rasent les murs, le regard fuyant. D'autres se la jouent viril et vont même jusqu'à casser du pédé à l'occasion. Mais tous ont en commun le mensonge et la schizophrénie liés à leur double vie et à la peur d'être démasqués", écrit-il.
"Car, en parlant, ajoute-t-il, ils risquaient tout. Leur honneur, bien sûr. Mais aussi leur vie".

Franck Chaumont s'en prend essentiellement aux politiques, mais aussi à ce qu'il nomme les "notabilités homosexuelles dans les centres-villes" qu'il tient pour co-responsables de cet "abandon" des homos des cités.

A travers la question de l'homosexualité, son livre dresse un portrait terrifiant de nos banlieues gangrenées par la misère sociale, éducative, affective et sexuelle.

"Homo-ghetto. (Gays et lesbiennes dans les cités : les clandestins de la République)", Franck Chaumont, Editions Le Cherche-Midi.

Une rencontre avec l'auteur est organisée au Centre LGBT de Paris le Samedi 24 octobre 2009 à 18h00.

> Le témoignage de Brahim, un homo dans la cité

Dans "Un homo dans la cité", Brahim Naït-Balk témoigne à la première personne de l’impossibilité de vivre son homosexualité en banlieue.
D’origine marocaine, à 22 ans il se retrouve dans les années 80 à Aulnay-sous-Bois. Sa différence éveille les soupçons et il finit violé, abusé dans une cave de la cité.
"A l’époque, je me disais, je ne suis qu’un sale pédé. Et maintenant je me demande comment j’ai pu me laisser faire", confie celui qui est désormais entraineur du Paris Football Gay.

"Un homo dans la cité", de Brahim Naït-Balk (éditions Calmann-Levy).
src e-llico


Partager cet article
Repost0
30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 18:55
Le Conseil de Paris a renouvelé la subvention annuelle de la Ville au Centre LGBT de Paris et d'Île-de France et voté un voeu à l'adresse de l'Etat lui demandant de rétablir la sienne supprimée en juillet dernier.
Le Conseil de Paris a renouvelé la subvention annuelle de la Ville au Centre LGBT de Paris et d'Île-de France.

Le Centre sera doté de 112.000 euros, soit une somme égale à celle de 2008, qui avait augmenté de 12% par rapport aux années précédentes pour accompagner son déménagement dans ses nouveaux locaux de la rue Beaubourg et la croissance de sa fréquentation.

Les élus de gauche ont profité du vote de cette subvention municipale pour interpeler le gouvernement qui a supprimé sa propre subvention en juillet dernier.
Un voeu de Ian Brossat du groupe Communiste et Parti de Gauche dénonçant la suppression "scandaleuse" de 15.000 euros "alloués au CGL pour ses activités sociales" et demandant son rétablissement "dans les plus brefs délais" a été adopté.

L’adjointe de Bertrand Delanoë en charge des Affaires sociales, Olga Trostianski, a rappelé que dans la période 2000-2002, la subvention de l'Etat (DDASS, ministère de la Santé) avait atteint 137.000 euros avant de fondre, en 2003, à 15.000 euros pour finir par disparaître totalement cette année.

Le Centre LGBT de Paris se félicite du vote de sa subvention mais regrette dans un communiqué que "tous les élus ne trouvent pas légitime la lutte contre l’exclusion et les discriminations".
Il trouve "particulièrement préoccupant" qu'aucun des élus de droite n'ai voté en faveur de cette mesure "car l’action de lutte contre l’exclusion et les discriminations menée par ses équipes ne porte pas de couleur politique".

Le Centre annonce par ailleurs que la Région Ile-de-France vient de lui accorder une subvention complémentaire de 6.000 euros afin de compenser une partie de la perte de la subvention de 15.000 euros supprimée par l’Etat.

> Un voeu contre les fermetures de lieux de nuit

La gauche parisienne a aussi déploré par l'intermédiaire d'un voeu voté, 156 fermetures administratives de lieux de nuit en 2008 décidées par la Préfecture de Police (PP).
La Ville a déploré des décisions trop sévères contre ces commerces qui sont des lieux de vie et d’animation.
Les quelques élus UMP présents en séance ont aussi ont voté en faveur de ce voeu.
src e-llico


Partager cet article
Repost0
30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 18:53
Un couple de surveillantes de prison de Rennes s'estime de "harcèlement" et de "discrimination" de la part de leur hiérarchie du fait de leur homosexualité. Les deux femmes ont saisi la Halde.
Un couple de surveillantes pénitentiaires homosexuelles a décidé d'attaquer la direction du centre où elles exercent, à Rennes (photo), s'estimant victime de harcèlement et d'homophobie.

L'une des deux femmes a du comparaître devant le conseil disciplinaire de la direction nationale de l'administration pénitentiaire après que sa hiérarchie locale ait proposé qu'elle soit sanctionnée pour avoir été surprise seule dans une pièce aux murs vitrés avec une détenue.
Une situation interdite par le règlement.

Cette menace de sanction fait suite, selon l'intéressée, à une série de faits quelle qualifie de "harcèlement".

Sa compagne et collègue de travail affirme, elle aussi, subir des "discriminations" de la part de sa hiérarchie et toutes deux mettent ces comportements sur le compte de leur homosexualité.

L'une d'elle a d'ailleurs reçu un courrier dans lequel on évoque "des dérèglements de la personnalité" la concernant. La seconde souligne leur mise à l'écart, quand un officier refuse ostensiblement de lui serrer la main.

Cette succession de faits a plongé le couple dans la dépression et les deux femmes sont aujourd'hui en arrêt-maladie. Mais elles ne baissent pas les bras et décider de déposer une plainte contre leur hiérarchie auprès de la police et de saisir la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations pour l'égalité).

Source : Ouest France.


Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : gaymarocmusul
  • : je cree ce blog pour venir faire connaitre mes idees , je suis gay et j'ai vecu une longue histoire avec un musulman, je veut ici partager des idees avec les gens du monde , chacun est le bienvenu pour laisser un com , je repondrai tjrs en donnat mon avis perso , meme si parfois je pourrais choquer certaine personne , alors apprenez a dialoguer et a etre a l'ecoute des autres , vous en ressortirez bien plus grand , bonne visite a tous
  • Contact

Archives

Pages

Catégories