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25 ans après son lancement, l'Enquête Presse Gay sur les modes de vie et les comportements préventifs face au VIH des lecteurs de la presse LGBT est de retour pour une nouvelle édition à laquelle s'associe E-llico.com.
25 ans après son lancement, l'Enquête Presse Gay sur les modes de vie et les comportements préventifs face au VIH des lecteurs de la presse LGBT est de retour. La dernière datait de 2004.

Aujourd’hui, grâce à l’implication de nombreux sites internet identitaires, dont E-llico.com, l’Institut de veille sanitaire renouvelle cette enquête auprès des hommes et, pour la première fois, auprès des femmes.

Comment vivez-vous votre orientation sexuelle ? Quelle est votre vie affective et sexuelle dans le contexte actuel de l’épidémie de sida ?

Vos réponses à ce questionnaire strictement anonyme sont essentielles pour permettre aux pouvoirs publics de mieux prendre en compte les besoins des homo- et bisexuel-le-s.

Une trentaine de minutes vous seront nécessaires pour le remplir intégralement. Les premiers résultats, traités par des chercheurs spécialisés, seront publiés à partir du printemps 2012 sur ces mêmes sites et médias gay.

E-llico invite ses utilisateurs à répondre à ce questionnaire. Plus nombreux seront les répondants, plus grande sera la représentativité de l'enquête et plus fidèle la "photographie" de la population des hommes ou des femmes ayant des relations sexuelles avec des personnes de même sexe ou se définissant homo-bisexuel-le-s.

Les grandes enquêtes représentatives de la population ne permettent pas de recruter un nombre suffisamment important de ces hommes et ces femmes et de poser des questions comportementales précises.

L'Enquête Presse Gay est donc un outil irremplaçable qu'il faut faire vivre qui permettra de disposer de données comportementales fines dans l’optique de mettre en œuvre des programmes de prévention au plus proche des habitudes de vie des gays et lesbiennes.

Répondre à l'enquête : www.enquetegayslesbiennes.fr

Par Pascal Parvis


George Michael veut aider les jeunes homos. Le chanteur anglais, qui s'apprête à remonter sur scène pour une tournée symphonique, pense qu'il a pu faire du mal aux jeunes homos ces dernières années, et veut donc se rattraper.

George Michael, hier lors de sa conférence de presse à Londres.

On ne peut pas dire que George Michael ait été un modèle très positif pour les gays. En couple avec son compagnon Kenny Gross depuis 1996, il n'a fait son coming out (forcé) qu'en 1998, après avoir été arrêté pour «comportement obscène» dans des toilettes publiques de Los Angeles. Re-accusé d'un délit similaire en 2006, cette fois à Londres, il a été arrêté plusieurs fois en possession de cannabis, et même plusieurs fois pour conduite sous l'emprise de drogue. Il a vu son permis retiré, passé quatre semaines en prison, fait des travaux d'intérêt général, s'est lui-même déclaré accro aux somnifères.

Mais l'ex-star des eighties est bien conscient que sa réputation est déplorable. Pire encore, il reconnaît qu'il a «laissé tomber les jeunes gays» en donnant une mauvaise image des gays. «En réfléchissant, a-t-il déclaré hier, je veux apporter quelque chose en tant que gay, parce que le fait d'avoir fait du tort à des jeunes gays, en me laissant aller, me pose un sérieux problème. A chaque fois, ils ont souffert que l'homophobie qui m'était adressée, car ces insultes qui ne sont pas condamnées dans mon pays (le Royaume-Uni) sont retombées sur eux.»

Un «collectif de musiciens gay»
Qu'on se le dise, il est déterminé à réparer ses torts. Aminci, bronzé et se disant «à nouveau en pleine forme», le chanteur a annoncé, lors d'une conférence de presse à l'Opéra royal de Londres, le lancement d'une nouvelle tournée et la préparation d'un nouvel album. «La tournée, a-t-il dit, c'est le meilleur remède, ça vous remet d'applomb.» Il s'agira de rien moins qu'une série de concerts accompagné d'un orchestre symphonique, qui passera par la France – le 22 septembre à Nice, le 28 septembre à Marseille, le 30 septembre à Toulouse et le 1er octobre à Montpellier, puis le 3 octobre à Paris-Bercy, avant de revenir à Paris, pour un concert à l'Opéra-Garnier, le 29 avril 2012. «Je ne me voyais pas à nouveau reprendre mes tubes, mais après tout, le public adore ça et c'est la meilleure chose que j'ai faite ces vingt dernières années!» a déclaré le chanteur, qui avait déjà fait une tournée «best of» il y a trois ans.

Quant à son prochain album, il devrait immortaliser son nouvel engagement auprès des homosexuels. George Michael assemblera un «collectif de musiciens gays et gay-friendly» autour de lui, et souhaiterait inviter d'autres stars à participer… mais n'ayant encore reçu aucune confirmation de leur part, il n'a pas encore souhaité prononcé leur nom. «J'espère avec cet album réparer les dégâts que j'ai faits», explique-t-il. Bref, le chanteur veut convaincre de sa sincère bonne volonté… Pourvu que ça dure!


src tetu.com

L'Eglise presbytérienne des Etats-Unis a décidé mardi d'autoriser l'ordination de prêtres homosexuels, quatrième Eglise protestante du pays à prendre une telle décision, a rapporté mercredi le Los Angeles Times.

La mesure a été adoptée lors d'un vote qui laisse les branches locales de l'Eglise libres de décider, ou non, l'ordination de gays ou de lesbiennes comme prêtres ou de les désigner à des responsabilités laïques.

"Je me réjouis que les presbytériens s'attachent à ce qui a véritablement de l'importance, la foi et le caractère, et non au statut marital ou aux orientations sexuelles d'une personne", a déclaré Michael Adee, un des responsables de l'Eglise ayant milité pour cette décision, cité par le journal.

L'Assemblée générale de l'Eglise avait adopté la décision de principe sur l'ordination des homosexuels l'été dernier, mais elle devait être ratifiée par une majorité des 173 branches régionales, ce qui a été fait avec le vote mardi soir de la branche de l'Eglise à Minneapolis (Minnesota).

Les Eglises épiscopale, luthérienne évangélique et l'Eglise unie du Christ ont déjà adopté des mesures semblables.


Belga

2.000 personnes ont manifesté samedi à Berne pour revendiquer l'égalité de droits en matière d'adoption entre couples homosexuels et mariés. Ce rassemblement intervenait quelques jours après le rejet par le Tribunal Fédéral du recours d'une femme pacsée.
Le Tribunal fédéral ne s'est toutefois pas prononcé sur le fond. Il a rejeté le recours parce que le couple est pacsé depuis moins de cinq ans, délai minimum d'union demandé aux couples mariés.

Derrière le slogan "Oui à l’adoption pour les couples de même sexe", les manifestants demandaient que les homosexuels vivant en partenariat enregistré puissent adopter l'enfant du conjoint.

Ils ont déposé une pétition signée par près de 20.000 personnes auprès des autorités et invité la population à adresser aux parlementaires fédéraux des cartes postales arc-en-ciel, revendiquant l'égalité pour les familles homoparentales.

Les principaux partis suisses étaient représentés aux côtés des organisations LGBT. En particulier les Verts et les Socialistes mais aussi le groupe gay du parti populiste UDC.

De nombreux enfants ont participé à l'événement. Selon les estimations, entre 6.000 et 30.000 garçons et filles grandiraient en Suisse dans des familles LGBT.

Le site LGBT suisse 360° a qualifié la manifestation de samedi de "plus grand rassemblement politique LGBT depuis la manifestation qui avait lancé la campagne pour le partenariat enregistré, en 2004".

Les organisateurs, qui ont qualifié l'événement d'"énorme succès" espèrent amorcer un débat national sur l'homoparentalité. Deux motions ont été déposées sur ce thème au Parlement suise.

src e-llico

Le Wall Street Journal a annoncé la mise au point d'un nouveau préservatif visant à aider les hommes qui ont des difficultés à maintenir une érection. Son homologation est en voie d'approbation en Europe. Le "Viagra du préservatif", comme il a été surnommé par la presse, a été mis au point par Futura Medical, une société britannique de biotechnologie qui travaille pour le fabricant de préservatifs Durex. Ce nouveau préservatif révolutionnaire est destiné aux hommes qui ont de la difficulté à maintenir une érection et sont moins susceptibles d'utiliser des préservatifs et donc d'avoir davantage des rapports sexuels non protégés. Le préservatif contient un gel comprenant un vasodilatateur qui augmente le flux sanguin vers le pénis et contribue ainsi à maintenir les érections. Son homologation est en voie d'approbation en Europe. Toutefois, le comparer au Viagra de Pfizer sous forme de préservatif n'est pas tout à fait judicieux dans la mesure où la célèbre plillule est destinée aux hommes atteints de dysfonction érectile en général alors ce nouveau préservatif s'adresse à ceux qui ont des difficultés à maintenir une érection lors de l'utilisation du préservatif. src e-llico